Arte Concert et Technopol en collaboration avec Sombrero & Co ont réussi à investir 16 lieux et clubs parisiens en juin 2020. L’objectif, y exporter le projet berlinois United We Stream suite au premier confinement. Ceci, en maintenant la flamme de notre passion pour la nuit et l’électronique. Résultat, le documentaire Nuit noire sur les nuits blanches nous en trace la belle et poignante histoire. Celle d’un secteur gravement touché par la crise.
United We Stream, lancé en confinement
Ce concept est né du confinement que nous avons mondialement connu suite à l’apparition du COVID-19. Une opération caritative qui permettait d’accéder à la rediffusion en direct de livestream inédits d’artistes. Ceci, dans des salles et clubs notoires en échange d’un don financier. De belles retombées en interactions sociales et un projet qui a su s’exporter. Aux quatre coins de la planète, dont la Chine et la France.
Nous en parlons avec plus de détails dans un article sorti à l’heure de son lancement.
Une collaboration touchante avec plusieurs professionnels de la culture
Technopol l’un de nos représentants les plus actifs et notoires de la scène électronique française a travaillé avec Arte Concert et Sombrero & Co pour initier ce documentaire. Thierry Villeneuve & Adeline Chahin en sont les auteurs. Nuit noire sur les nuits blanches retrace donc l’histoire d’une passion. Mais aussi d’un univers inédit et presque magique. Il fait travailler une grande économie et écosystème de la France et ailleurs, qui sont complètement bouleversés aujourd’hui.
On y compte des artistes de renom comme Teki Latex, Dj AZF, Darzack, Minimum Syndicat, Arnaud Rebontini. Ou encore Busy P, Bambounou, Louisahhh, Kiddy Smile et bien d’autres. Ceux-ci filmés dans des lieux adorés tels que le Petit Bain, le Rex Club, Le Kilowatt et encore.
Nous ne sommes donc pas perdus dans ce visionnage.
Faire face à la crise, avec de nouvelles alternatives
C’est ce que propose ce documentaire. Avant cela, la musique électronique connaissait un véritable renouveau que ce soit dans sa professionnalisation et économiquement parlant. Il est hors de question de laisser notre passion s’effacer au vu du potentiel qu’elle sait soulever. Alliée à des métiers et à une notion de la fête qui est important dans notre quotidien, il est plus qu’important de continuer à faire vivre cette culture. Ceci, en trouvant des alternatives. Même si l’on ne peut revenir toujours totalement en arrière, c’est encore plus le moment de se soulever pour faire émerger de nouveaux concepts, fonctionnements. Ceci, afin qu’un maximum d’entre nous survivent en plus de cette culture qui nous est si chère.